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Mes textes, mon écriture, pour vous...

18 août 2011

Un autre, en pleine insomnie à minuit....

Depuis que je suis loin de toi, je suis comme loin de moi, et je pense a toi tout bas.. La différence c'est ce silence, parfois au fond de moi.. Et moi, loin de toi, je vis dans une boite a musique, électrique et fantastique, toujours ce silence au fond de moi.. Tu es, oui, toujours la plus belle, et je te reste fidèle, mais qui peut prédire l'avenir de nos souvenirs, oui j'ai le mal de toi parfois, surement du fait que je ne te vois pas... Même si je ne le dis pas, l'amour c'est fait de ça.. Il était une fois, toi et moi, n'oublie jamais ça, toi et moi, quand tu dormiras près de moi, tu manipulera mon cœur du bout de tes doigts, quand tu pleureras dans mes bras, mes yeux pleureront pour toi, je te ferait dormir, d'amour et de plaisir, je t'emmènerais la ou l'on emmènes pas, j'allumerait des soleils dans ta nuit pour qu'elle soit plus belle.. Je te ferait bâtir des châteaux et des empires, si tu le désires. On fera des voyages à en déchirer les nuages, je te ferait venir la où l'on ne peut pas mourir. J'aimerais trouver les mots les mots, juste les mots qu'il faut... Mais les mots ne sont que des mots, tu le sait, alors je cherche, j'écris encore, les mots vrais les mots, les plus forts. J'ai l'impression que je trouverais, alors je continue. Un rêve d'archipel, de vague perpétuelle, sismique et sensuelle. Donne moi toi, tout, toi ma fleur. On est est loin, loin des amours, loin du soleil éclatant, et cette mélodie, toute vermeille sur ces murs gris, je te le dit. Je te fait un gros calinou et t'embrasse sur la joue.. ou... :$ Ps pour moi même : don't dreaming, you're trying to reach heaven, paradise blue as his eyes. Ce qui signifie en français : Ne rêves pas, tu essaie d'attendre le paradis, un paradis bleu comme ses yeux :$

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18 août 2011

Pour une jolie fleur aux beaux yeux...

Le tien Louisiane, juste pour toi :$ 
Ta malicieuse allure, et mes ; tu en est sûre ? Tes yeux aux regards malicieu, et les deux perles que tu apelle tes yeux, je combats mes peurs, et ton petit cœur de fleur :$... J'aimerais te dire que je suis à toi, jolie Louisiane, mais tu te dérobe, tel une petite abeille, puis tu replis tes ailes, tu te poses sur mon bras, je t'ésquive à pareille, toi, petite merveille, je ne peux pas te le dire, mais j'aimerais te l'écrire. Je t'aime :$

18 août 2011

Mais encore...

Je suis terrien, juste une poussière, dans dans cet univers, mais ce n'est rien, nous sommes nous, surs de rien du tout, hier soir, j'ai vu dans le ciel une étoile, ma bonne étoile, autour de toutes ces semblables, visible à l'oeuil nu, mais j'était à des années lumières de me demander ce qui allait m'arriver. Elle m'a salement laché, elle, ma bonne étoile elle m'a lâché, mais elle m'as dit que je devais désormais voler de mes propres ailes. Alors je vole, comme le vent, je sillone le monde à travers les montagnes, les lacs d'eau claire, le froid arctique et la chaleur équatorienne, puis je te chantes ce chant, que m'as sifflé un petit oiseau mignon de Louisiane, que j'ai croisé au cancer, il y a peu, lors d'une de mes perilleuses aventures, dans un de mes rêves bleu ; J'aimais une fleur, elle m'a apris l'amour, elle oui, elle m'as apris l'amour, elle m'a apris les pleures, c'était si naturel, c'était tellement frais, elle était tellement belle, j'aimais la sentir, sentir son parfum, la fleur, la fleur, alors je ferme les yeux pour reprendre des couleurs, mais l'orange m'emeut et le noir me fait peur, le rouge veut me m'aneanrir et le cyan me haïr, tout cela m'attriste, cette tristesse m'assasine c'est la mort qui m'effleur, j'ai perdu cet insigne, qui à fait signe à cette fleur, et a fait chavirer mon cœur. Après quoi je cours ? Apres toi mon Amour ; oui, toi tu est cette fleur. Ton âme et ton parfum, absorbé, d'humeur, parfois fantomatique, soudain une nuit comme les autres, sous une lune pleine, une âme sensible et solitaire, soudain j'imagine, une vie sans spleen, est-ce vraiment un crime? Un bonheur irreel , une vie sans problèmes, sent-tu quand je respire, entend-tu les battements de mon cœur, ce parfum de jasmin qui apparaît comme un éclair dans une brume d'automne, une mort, la mort, une envie de crime, insomniaque ivresse qui m'enhvahit, sens-tu ce que je ressens ? Je suis un esclave de ton amour, comme celui de satyre et de tes beaux yeux Ton corps sous ta robe fuit, tes beaux yeux d'or promettent le ciel, mais est-tu vraiement celle dont je rêve, en ce moment je ne suis pas avec celle que j'aime. Alors Tout cela c'est mon cœur qui te le conte, c'est écrit en son intérieur, mais ça, il l'as apris par cœur, et c'est aussi réel que la vague de chaleur, qui m'emporte comme dans une sorte de paradis, et qui, tourbillonne autour de moi lorsque tu me délivre de mon chagrin et que tu me prend dans tes bras...

18 août 2011

Mon Amour ;

J'ai tellement envie de t'écrire que je continue., mais absorbé par ton parfum romantique si subtile sous la lune, une nuit comme les autres, je me ballade dans les airs, un désir un peu fou, une insidieuse ivresse, hystérie sensible, l'envie d'être avec toi. Tes yeux qui brillent tels de petites perles dans la nuit, une larme qui coule vient briser la couleur opale de tes joues contre mes lèvres. Les tiennes, au goût fragile à la fois de miel et de rose, me donnent l'envie de respirer à nouveau tes éfluves et ton élixir qui m'ont rendu fou de toi. Tout ça m'enflamme, je m'envole une fois de plus dans un rêve bleu qui parait être le nôtre, mais je suis seul, seul avec ma solitude et mon désaroi. Puis soudain je deviens fou, soudain j'eût un désire un peu fou ; t'embrasser pour la première fois. Même si mon plus-que parfait est médiocre et mon present imparfait, tu comprend dans ce texte là, la poésie, aussi -Amoureuse- et sauvage que féerique qui m'a poussé à te l'écrire. Ce chaos aussi narchotique et triste que inutile mais d'un coté très intelligement pensé m'a fait réflechir. J'en suis parvenu à 7 lettres et une apostrophe ; je t'aime.

18 août 2011

Pour toi..

Legerté Oh qu'elle est belle Uhm ... Intelecutelle Si Si qui t'aime ! Ireel Alalah Nous Épique tells que ces moments.. On a beau Laisser dernière nOus tout ce quI nous étouffe, changer d'air et d'itineraire, ne jamaiS faire marche arrIère, regarde bien ou on vA, la route semble être la même à chaque fois, tout droit devant soi, chacuN pour soi, ma douceur c'est toi, mais on se pErd a chaque seconde, mais iL n'y a pas plus dOuceur au monde, que toi, c'est bizarre je ne comprend pas , j'ai déjà vU tout ça.. On est déjà passé par la 100 foIs, ne me demande pas pourquoi, j'ai beau tenir et m'accrocher à tout Se à quoi je crois. Qu'est ce qu'on en faIt de ces mots que rien n'effAce ..de ces moments ou l'oN ne veux plus rien ni pErsonne, je n'ai jamais su quelle était la bonne, avec toi , la bonne attitude, pour ne pas me laisser bercer par les habitudes, je voudrais voyager sans bagages, j'ai assez fait le passager de mes fausses certitudes, je voudrais, pour tourner la page, perdre le nord, gagner le sud et les bonnes attitudes, je n'ai jamais su mesurer la bonne distance, et je suis loin de savoir parler en toutes circonstances, je me refuses à répéter les phrases, les phrases dénuées de sens, qui gâchent les silences, je voudrais tant communiquer avec les anges, ce que je penses, même si c'est sans importance, j'ai envie d'evidences et de béatitude, assez de bienveillance, assez de cervitude. Je plaide donc longue patience.. j'accuse la lassitude, je suis comdamné à avancer dans l'expérience de nos certitudes, à dépasser les affluences et les influence et remplacer les négligence par l'exactitude, à condamner, à chercher la bonne attitude. Ne dis pas ce que tu est, mais dit que tu le sait, ne dis ce que tu fait mais fait ce que tu dis, ne dis pas ce que tu pense mais pense ce que tu dis, ne dis pas que tu danses mais danses, tampis. Regarde le ciel autour de moi, regardes, j'ai le choix, je suis une lumière en supention dans les airs, la lune me vois en courant d'air, passage éclair, ébloui par les étoiles autour de toi, dans ton lit sans un bruit, et j'ai pris , j'en ai acroché deux ou trois, je ne sait quoi, voir un nouveau monde au soleil à l'ombre, sans orage qui gronde. À tous les étages de ma vie on crie à l'incendie , tout tremble en moi, on tremble pour toi.. tout se réveille, les yeux ouverts fixant la nuit , je t'entend crier dans ton someil - mon insomnie - voir les choses en faces, toujours les mêmes, jamais pareils, je me lance doucement sans crier, je n'ai plus rien à prouver, j'avance sans me retourner, je me glisse sans te réveiller, puis je disparaît. Apres tout je suis rien qu'une lumière, en suspention dans les airs. .... 

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